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1988
Quand
tout
va mal ...
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Les problèmes financiers ne sont pas les seuls à s’acharner sur la station
car les éléments météorologiques s’y mêlent : le 22 janvier 1988, la
tempête détruit partiellement la partie supérieure du pylône d’émission
endommageant deux des quatre dipôles.
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< image
reconstituée de (sinistre) mémoire !
Ce coup de vent est un
épisode
de plus dans la descente aux enfers.
L'antenne
piteuse et ses éléments se balançant
hideusement au bout de leur câble sont à l'image
de la station.
La dernière ligne droite est
entamée... |
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Paris-Normandie 23 janvier 1988
Document transmis par D. Lefebvre
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Finalement, |
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1982
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1984
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1987
Vendredi 29 avril
1988
Radio Solaris est
MORTE !
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Le soir du 29 avril, l'abandon du titre "Radio Solaris"
est approuvé.
L'image de marque étant trop dégradée. Le nom est remplacé par
"Pulsion FM 99"
une
nouvelle dimension sur la bande FM
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Samedi 30 avril 1988, Radio Solaris
est devenue "Pulsion FM" mais les dettes ne s'effacent pas pour autant.
De plus, la situation financière est aggravée par les malversations et escroqueries de certains collaborateurs qui détournent à leur profit les
maigres recettes publicitaires récoltées. |
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 L'Association Pulsion FM
créée reprend la suite des opérations avec le même matériel, la
même fréquence de 99 MHz, les mêmes animateurs et
la même musique... techno
!!!
(beurk en effet
!)
Les membres du Conseil d'administration sont les mêmes personnes issues du
bureau de l'ancienne association (ceux et celles qui n'ont pas fui !)
De toute évidence, les postes d'administrateurs attribués sont
purement symboliques !
Un nouveau président Monsieur Gilbert Bouvet est élu
et remplace Madame Anne Chevalier qui conserve néanmoins une fonction de
secrétaire.
Le
remue-ménage provoqué par la dislocation de l'Association Solaris et son
remplacement par la nouvelle et fragile association
Pulsion FM augure un
environnement tourmenté.
Dans cette perspective glauque, l'agence locale de
"Paris Normandie" à Yvetot souhaite, ça se comprend, récupérer son
appartement du premier étage de la rue Pierre et Marie Curie.
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> Le 8 juin 1988 : inscription au Journal Officiel de la création de
l'Association Pulsion 13 rue du calvaire 76190 YVETOT (date de création : le
2 mai 1988)
 Il
convient de noter que la création de cette nouvelle association "Pulsion FM" ne veut pas dire dissolution de l'ancienne "Association Solaris".
En effet, cette
dernière
non radiée
continue d'exister sur le plan légal, vu qu'aucune décision de suppression
n'a été enregistrée et/ou publiée au Journal Officiel.
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Le déménagement d'urgence des studios
s'impose et
une nouvelle adresse est
trouvé dans un autre quartier cossu de la
ville, rue du Calvaire.
Une fois de plus, le
carnet d'adresses de
Mme Chevalier a été déterminant
!
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Rien de changé pour l'émetteur
inamovible* dans l'appartement
toujours squatté de la
rue des Victoires.
* à part le pylône d'émission "modifié"
avec deux dipôles seulement, rescapés
de
la tempête du 22.01.1988
En attendant une renaissance radiophonique hypothétique,
quelques travaux
d'agencement
de studios commencent
rue du
Calvaire >> |
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Un aspect du studio principal de Pulsion FM rue du Calvaire.
(Photo Jeff)
Cette photo sera la
dernière où nous verrons une partie de notre matériel :
la table de mixage Samantha,
les deux platines Technics, l'un des
magnétophones Revox,
l'une des enceintes Martin,
quelques maxi 45 tours...
UTILE A RAPPELER
: dans ce studio, exceptée la Samantha, tout
l'équipement ici provenait de dons
(achats effectués par les membres fondateurs de l'ex-Radio Solaris.
Aucun matériel n'aura pu être récupéré légitimement par eux-mêmes à la fin de
l'aventure.
Peut-on parler de recel... ou vol de matériel ???
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Voir d'autres photos
>
ici
< de Pulsion FM
en construction,
disponibles dans notre chapitre "Studios".
Nous remercions vivement
Jeff (Jean-François - animateur
Radio Solaris/Pulsion)
de nous les avoir transmises.
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Dès la fin des travaux d'agencement des nouveaux studios achevés, les émissions
devront pouvoir reprendre.
L'amateurisme et la faiblesse des moyens mis en œuvre ne donnent aucun
des résultats
escomptés. Pire, la nouvelle organisation vulnérable dans sa précipitation
de relancer l'entreprise bancale, attire inévitablement les importuns et les pique-assiettes,
suivant la coutume habituelle.
Cette fois, encouragés par une direction effacée ou inexpérimentée, la
possibilité de faire de l'argent facile est trop
tentante pour les malfrats. Avec leurs méfaits dévoilés au grand jour dans la presse locale
(voir ci-dessous), la réputation de Pulsion FM
- ou peut-être celles d'hypothétiques stations à venir - sont
compromises et
désormais grillées auprès
des annonceurs cauchois potentiels !
Chats échaudés...
Désormais, cette période trouble suscite la méfiance des personnes influentes (élus, annonceurs, commerçants...) qui
empêche de nos jours, la présence d'une véritable radio locale associative sur Yvetot et sa région*.
* Ne pas oublier les
réticences du CSA pour ré-attribuer au moins une fréquence
FM
sur le vaste pays de Caux, ce qui compromet (et interdit) inévitablement la création d'une
vraie radio de proximité chez nous !
Certains l'auront remarqué : cet ostracisme ne concerne pas les chanceux réseaux
FM «
hors 76
» !
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Les documents
suivants nous ont été transmis par Mme A. Chevalier
et également M. D. Lefebvre
(ex-présidents de Radio Solaris)
:
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Pas de miracle, le changement de nom en "Pulsion FM" auprès des annonceurs
est passé
inaperçu.
Cependant, le
gouffre financier existe toujours en arrière plan : les frais de fonctionnement et les
charges salariales s'accumulent face aux recettes commerciales
insignifiantes.
Sans aucune ressource,
Pulsion doit s'arrêter. |
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Le 30 juin 1988, la décision est prise :
Pulsion FM
cesse
ses émissions |
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La présence d'une
radio locale, centre d'intérêt de la ville d'Yvetot,
n'intéressait plus grand monde...
Qu'étaient devenus tous ces chanteurs, tous ces groupes musicaux que nous
avions connus au cours des années passées ?
Qu'il
était loin le Concert de soutien à Radio Solaris du 3 janvier 1982 à Fécamp !
L’association en pleine dérive est dissoute le 7 juillet 1988.
Pendant quelques semaines encore, le souffle audible de la
"porteuse" de l’émetteur reste présent sur les ondes, comme
le dernier témoin
discret de cette aventure.
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Le jeudi 7 juillet 1988
(et non le "6", indiqué par erreur dans
la convocation ) >>>
Le président de
l'association Pulsion
M. Gilbert Bouvet convoque les membres
du conseil
pour une réunion à Yvetot au domicile
de Jean-Pierre Monnier, l'un des administrateurs.
Les personnes présentes
sont donc :
Gilbert Bouvet, Gérard Jacquel,
Stéphane Hagues, Jean-Pierre Monnier,
Daniel Verdière, Hervé Voiment
et
Jean-Claude Dumenil.
La séance sera brève puisqu'elle ne durera
à peine un
quart
d'heure.
Après avoir pris connaissance des
ultimes rebondissements de ces
derniers jours
(détails dans "L'Histoire")
et avant
que la situation ne
devienne totalement incontrôlable
tant juridique que financière, il est
décidé
de tout arrêter* et de dissoudre le jour même
l'association Pulsion.
*
Les programmes
sont muets depuis
une semaine
(fin discrète le 30.06.1988)
Après sept années
mouvementées, la joie cède la place à une immense tristesse. En présence
d'un tel gâchis, la peine est grande pour tous ceux encore présents qui ont
vécu les débuts de cette grande aventure.
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>
Le 27 juillet 1988 : le Journal Officiel prend acte de la dissolution de
l'association Pulsion
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 Allez, souriez
un peu...
Jeff a eu le "privilège" (le mot ne convient sûrement pas !) d'être la
dernière voix entendue sur
la fréquence de 99 MHz en diffusant
- clandestinement - sa célèbre émission de hard rock en juillet 1988
à l'horaire habituel un lundi soir, à
deux reprises, alors que les émissions régulières de Pulsion
FM avaient disparu depuis fin juin 1988. Les fanas de
l'émission ont pu goûter, pour les deux dernières fois sur la bande FM
normande, les
délices de leur musique "hard" favorite.
Pas sûr qu'ils aient retrouvé l'équivalent de nos jours avec les stations FM voisines ???
L'émetteur muet dans la journée mais toujours accessible via
sa ligne de modulation, a été
coupé
définitivement pendant l'été
(date ?)
avant son exil en
janvier 1989 pour achever sa courte vie au sommet d'un château
d'eau près de Yerville !
( >
"Le Livre" chapitre 1989
)
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(?) Août 1988
 < Restée silencieuse pendant plus d'un mois,
l'onde porteuse
de l'émetteur toujours
perceptible dans les transistors et autoradios cauchois, est coupée
brutalement pendant l'été. (en août
1988 ?)
En Haute-Normandie, le point 99 Mhz s'est éteint à jamais.
De nouveau, le néant hertzien sidéral recouvre le pays de Caux.
INTERESSANT A SIGNALER >
avec l'extinction définitive de notre émetteur, le silence à cet instant et
l'absence d'interférences sur la fréquence de 99 MHz confirment
le
choix judicieux pour cet emplacement précis au milieu de la bande FM, décidé
unilatéralement (sans accord du CSA et de TDF), il y a quatre ans
!
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24 septembre 1988
Passivité des élus |
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Après trois mois de silence hertzien,
les membres
du Conseil Municipal
d'Yvetot
pouvaient-ils
encore feindre d'ignorer
la mort
de leur radio locale ?
"M. Le
Maire, Dr Pierre Bobée a fait
savoir
qu'il existe différents projets
pour
reprendre la fréquence... |
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(Article transmis par D. Lefebvre)
... mais que la ville n'y
était
pas associée !"
Triste pour Yvetot et sa région !
Mais... Au fait quels étaient-ils ces autres projets ?
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Octobre 1988
Trois mois après la disparition de la station,
M. Gérard Jacquel,
ancien concepteur de l'émission "Vivre à Yvetot" sur
l'antenne de Radio Solaris,
écrit dans le magazine municipal
(titre éponyme), un
édito
intitulé
"DE PROFUNDIS", des propos très sévères visant les responsables de la radio.
Notre commentaire vient juste après...
"Vivre à Yvetot" - oct 1988 |
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Notre commentaire
Le texte
est cinglant ! Cependant, comment ne pas approuver un tel constat pessimiste ?
Pour autant, faut-il accabler les acteurs de Radio Solaris, comme seuls responsables
de la déroute de leur station ?
Sûrement non, ce serait trop facile
!
Après la démission de la présidence de M. Daniel Lefebvre en mars
1986, les pouvoirs publics, la ville d'Yvetot et
toutes les communes englobées
dans la zone d'écoute de Solaris,
les artistes locaux du spectacle - chanteurs, groupes musicaux se sont
(comme Daniel d'ailleurs !)
complètement désintéressés
-
et désolidarisés
- de Radio Solaris en tant que
média local, n'ayant su ou voulu trouver, faute d'interlocuteurs crédibles
dans les directions successives de la station, les mêmes terrains
d'entente qu'ils avaient connus dès novembre 1981. Pas surprenant que nul
n'ait bronché pendant les pires moments et tenté de sauver avec nous ce
qu'il subsistait de la radio cauchoise.
Côté station, savoir fréquenter élus, notables et personnes influentes de la
région est un atout non négligeable pour gérer une radio de proximité,
aptitude que les successeurs de M. Daniel Lefebvre, malgré leur bonne volonté, ne possédaient
sûrement pas.
Le privilège et l'audace d'avoir créé les premiers une radio musicale locale
en pays
de Caux, n'ont pas suffi.
Si "faire de la radio" exige de "la rigueur, du professionnalisme et de l'imagination"
(cf l'article "De Profundis"), il faut croire qu'après nous, ces qualités n'ont
pas inspiré grand monde dans
la
région où cela n'a échappé à personne, aucune radio équivalente
n'est parvenue à remplacer Radio Solaris !
Désespérant pour le pays de Caux dont la voix désormais muette sur les ondes,
est l'une des rares régions sans véritable radio locale...
jcd - 2001 -
p/radiosolaris.free.fr |
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19881008
Le 8 octobre 1988
< Le Courrier Cauchois, partenaire complice
des premiers jours,
publie sous la plume de notre ami Serge Couasnon, un article néanmoins hallucinant :
le retour aux affaires (?) de Madame Chevalier et l'annonce d'une prophétie...
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... La résurrection prochaine
de
Radio Solaris !
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8.10.1988
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7121988
(Précisions)
Comme indiqué plus haut, l'Association Solaris n'est
pas
dissoute le 2 mai 1988 au moment de la création de l'association Pulsion
FM,
contrairement à ce que tout le monde pensait...
D'ailleurs, la lecture du Journal Officiel du 7.12.1988 nous confirme
même quelques modifications :
Info transmise
par Rod :
A ce jour, il n'existe
aucune trace de dissolution de cette (nouvelle) association
"Radio Solaris" parue au Journal Officiel. Sur le plan légal, elle continue donc d'exister.
Pour quelles raisons et dans quels buts ???
Surprenant tout de même, une association qui change de titre
et d'adresse sans déclencher la moindre réunion de son bureau. Pourquoi adopter une
telle stratégie et dans quels buts cette perpétuité pour une radio
“fantôme” ?
Relisez la dernière partie de l'interview du Courrier Cauchois plus haut
: y a-t-il encore des projets de sauvetage de la station, ou bien
s’agit-il maintenant d’empêcher la résurgence possible d’une nouvelle
station au nom de “Radio Solaris” par une éventuelle équipe dissidente ?
Allez savoir...
Mystère. Nous restons attentifs...
Encore plus effarant, en 2007 !!! - retrouvé sur
le "net" !
31/12/2007 : une
association créée pour gérer quoi...
une radio fantôme ?
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Retour en novembre 1988
La
résurrection prochaine de Radio Solaris (suite)
L'eussiez-vous cru : le miracle
promis bat de l'aile
!
En guise d'alouettes,
ce sont des vautours qui voltigent au-dessus de nos têtes !
C'est évident, il n'y aura jamais de retour de la voix de Solaris sur les ondes...
Pire, le dépeçage de la bête encore fumante va pouvoir commencer.
Jugez-en !
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Ignominie suprême !
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LES MIRACLES N'EXISTENT PAS
EN PAYS DE CAUX
La plupart du matériel
technique utilisé par Radio Solaris provenait de dons
des membres fondateurs.
De plus, les achats
d'équipement onéreux (émetteurs, compresseur, tables de mixage) avaient été
financés par
des prêts
bancaires
tous cautionnés (garantis) par un ou deux membres... on va dire "motivés"
de
l'Association Solaris...
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1989 |
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1989 |
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1989
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Jeudi 12 janvier
L’antenne émettrice est déposée le 12 janvier 1989.
Cet événement "spectaculaire" à Yvetot
marque la fin de l’aventure
"radio libre"
des années 80
en pays de Caux |
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(Paris Normandie du
13.01.1989)
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ATTENTION, si l'antenne disparaît ce 12 janvier 1989, gardons-nous de faire
des commentaires hâtifs et erronés sur l'avenir de la fréquence !
Et pourtant :
(Le C. C.
du 14.01.1989)
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Mais cette
concurrence ? Où est-elle ?
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 -A SUIVRE
>
Les années passent... |
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résumé express
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