21

 

     
           
L
es radios locales étaient-elles malvenues en pays de Caux ? 
                                                                                1 - Solaris, un émetteur trop puissant    
                                                     
  2 - Reso'nance pays de Caux     
                                                                 3 - Yvetot FM

RESO'NANCE PAYS DE CAUX :  créée le 22.04.1989 - interdite le 23.06.1991 !

                       Le pays de Caux a retrouvé une voix durant quelques mois, depuis le village d'Autretot  (au nord d'Yvetot)


Nulle intention pour nous de retracer ici l'historique de Resonance(1), nous voulons simplement montrer avec les articles de presse compilés pendant les années qui ont suivi la disparition de Radio Solaris, combien il est difficile dans notre pays de Caux (comme sûrement ailleurs en France) de créer une véritable radio locale dédiée à la musique où malgré les belles promesses et les beaux discours de nos élites politiques à la gloire de la liberté des ondes, tout ce carcan de lois et de règlements mis en place semble être fait pour décourager, freiner et contrecarrer l'ardeur des promoteurs de radios indépendantes.

Chacun peut en faire le constat sur son transistor, son autoradio ou sa chaîne Hi-Fi chaque jour et déplorer l'indigence musicale de l'offre radiophonique
(2) en pays de Caux où les doublons bavards de France Bleu, les stations religieuses, les réseaux lointains (parisiens et depuis peu... hors département !) sont désormais les principaux acteurs de notre bande FM locale.

Dans les années 90,
Resonance basée près de Fécamp, d'une puissance moindre que celle de Radio Solaris, avait été fortement invitée par les autorités de tutelle (CSA...) à mettre un frein à ses appétits d'extension qui visaient l'ancienne zone de diffusion de sa prédécesseuse. Résultat, l'expérience de délocalisation dans la région d'Yvetot n'a tenu que quelques mois avant d'être interdite. En cause : le sempiternel manque de fréquences (?), un prétexte bien sûr, pour museler toutes tentatives de nouvelles radios locales indépendantes ! Il suffit de relire les coupures de presse ci-dessous que nous avons regroupées.

(1) voir PLuTÔT le site >
 https://www.schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=473

(2) NOTRE EXPéRIENCE d'écoute : à propos de l'indigence musicale légendaire sur les ondes, nous avons écouté la bande FM d'un bout à l'autre - 87 à 108 MHz - station après station dans l'agglomération de Rouen, un mardi matin à 6 h 45 le 11 octobre 2016 (jour et horaire pris tout à fait comme ça au hasard). Nous nous sommes amusés à balayer le cadran de notre récepteur FM en cinq minutes chrono, juste pour entendre (et constater)...

Sans surprise, le résultat est absolument consternant : pas une seule chanson, pas un seul refrain n'ont été perçus pendant ce périple sur la bande FM haut-normande. Sur toutes les fréquences survolées, d'un bout à l'autre, ce n'était que "parlottes" et bavardage plus ou moins personnels entre animateurs et/ou chroniqueurs ou bien diffusions simultanées d'écrans publicitaires, tous les mêmes à cette heure matinale (pour info, il n'était bizarrement question que de messages vantant des assurances et des mutuelles ?)

Sur toutes les stations rencontrées, nous n'avons donc entendu aucune note musicale diffusée durant notre randonnée matinale sur le cadran, sauf une seule exception : France Musique ! Ouf ! La moindre des choses, même s'il ne s'agit que de musique classique... On n'a rien inventé.

Alors, 44 ans après la "fin" du monopole d'État de la radiodiffusion en France, la bande FM vous fait-elle encore "vibrer" ?


                                                                                             
                                                     De la musique avant toute chose !


NB : Les articles de presse présentés ci-dessous proviennent principalement de nos deux journaux locaux dont voici les coordonnées :
Le Courrier Cauchois  -
  www.lecourriercauchois.fr   -  2 rue Edmond Labbé - BP 129 - 76190 Yvetot cedex  &  Paris-Normandie  - www.paris-normandie.fr   - Siège social : 97 boulevard de l'Europe - 76100 Rouen

1989


Le Courrier Cauchois - 18 février 1989



Retenez bien les dernières lignes : "la fréquence sera 103,9 MHz, cette zone étant libre..."    Et pourtant...


NB >  les raisons du refus : la fréquence de 103,9 devait être attribuée à RFM sur le Havre (encore un réseau... parisien !)
sans oublier la fréquence proche de 103,6 sur Cany-Barville octroyée à un énième relais France Bleu !

 

Le Courrier Cauchois - 1er avril 1989

Le Courrier Cauchois - 22 avril 1989



Le 23 avril 1989, un relais de Radio Reso'nance à Autretot...




( Le Courrier Cauchois )

  (document transmis par Stéphane Duclos)

 

Le Courrier Cauchois - 23 septembre 1989







Document publicitaire "Resonance" transmis par Fabrice

Le Courrier Cauchois - 30 septembre 1989

 

1990


Le Courrier Cauchois - 3 février 1990


L'arrivée chez nous d'un intrus !  Une radio concurrente nordiste...






... un passage vraiment "supersonique" !!!  Eh, vous l'avez entendue ?



http://www.metropolys.com/



                                              Info extraite d'OEM n° 58, le journal des radios libres :




       A propos de Radio Metropolys, la "rock FM" BCBG... 

                                                                   était originaire de Lille !

 

Signe particulier : rien que de la musique, Metropolys originaire de Lille veut être la "Rock FM" de la métropole lilloise. Exit l'information, les magazines, les interviews "blablatantes".  < si c'est eux qui le disent !

Les premières émissions datent de décembre 1981. Mais un jour d'avril 1983, les émissions cessent brutalement sans explication pour les auditeurs. Un combat des chefs a eu raison de la patience des animateurs qui préfèrent quitter la station plutôt que d'y respirer une atmosphère malsaine. En juillet 1984, la station repart doucement avec une nouvelle équipe décidée à imposer une radio calquée sur les FM rock américaines. Quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit, vous écouterez 7 "play-lists", 4 titres français "branchés" et un "oldies".

Pour Bruno Lecluse, le "boss"
(< photo), la FM c'est avant tout de la musique non-stop et la concurrence sur ce créneau ne l'affole pas. L'avenir peut lui donner raison puisqu'on vient d'apprendre que sur Paris, ce type de radio arrive désormais en tête de l'audience des 12 à 50 ans ! selon "Metropoche" de mai 1985.


NdW : le "syndrome Solaris" est encore trop présent dans la tête des annonceurs cauchois. Chats échaudés... Bref la recette n'a pas pris "cheu nous" en pays d'Caux !!!


crédit photo : www.schoop.fr

 

1991

Le Courrier Cauchois - 23 février 1991



 


Le 16 avril 1991 : la radio privée... de fréquence
 


La fréquence 103,9 MHz était pourtant libre (relire le 1er article de presse) mais les dirigeants

du CSA depuis Paris en ont jugé autrement : aucune fréquence n'est libre en pays de Caux !    
< étrange non ?


   



     (doc. Paris-Normandie du 16.04.1991 transmis par Daniel Lefebvre)


 


   Le Courrier Cauchois - 11 mai 1991






    (doc. Le Courrier Cauchois du 11.05.1991 transmis par Daniel Lefebvre)

Le Courrier Cauchois - 22 juin 1991


( un soutien bien timide !!! ) 




Soyez rassurés : si les élus locaux s'en mêlent,
  alors "Resonance pays de Caux" sera sauvée !!!
 

 


Parallèle historique : Rappelons-nous, notre aïeule Radio Normandie
subventionnée par la Ville de Fécamp et la Chambre de Commerce, avait été ignorée sur la liste des stations autorisées par le décret de juillet 1928.

Grâce à l’intervention d’un énergique député du Havre M. Georges Bureau
(photo >) et du Ministre du commerce et de l’industrie Georges Bonnefous, la station normande fait valoir ses droits et est reconnue officiellement au même titre que les treize autres stations privées françaises déjà reconnues. Radio Normandie bénéficie tardivement d’un décret d’autorisation le 24 janvier 1929, lui permettant de continuer et développer ses activités.

Comme c’est souvent le cas à l'époque pour les stations privées en litige avec l’administration, les élus régionaux (déterminés et surtout influents à cette époque...) se mobilisent et obtiennent du gouvernement la reconnaissance et les autorisations nécessaires.
Hélas, ces temps héroïques sont bien révolus !

Dommage pour Réso'nance Pays de Caux !


jcd
 

Le Courrier Cauchois - 22 juin 1991


Le Courrier Cauchois - 29 juin 1991

                            


 

                                     29 juin 1991

                                                       
"Il peut y avoir des radios locales..."
en pays de Caux ?

                           Waaoouh. ça, c'est de humour !



Pourquoi sommes-nous autant naïfs ? Le discours officiel (article ci-dessus) ne cadre vraiment pas avec la réalité : malgré les soi-disant "efforts" déployés par les élus locaux (1), RESONANCE PAYS DE CAUX n'a pu obtenir l'autorisation de poursuivre ses émissions depuis Autretot. Une fois de plus, la diversité et le pluralisme et l'information locale sont mis à mal dans notre région.

(1) Les élus du pays de Caux ont-ils manqué de volonté ou préfèrent-ils entendre à la radio des voix parisiennes plutôt que nos voix locales ?

Le sempiternel prétexte est confirmé :    

AUCUNE FRéQUENCE N'EST DONC DISPONIBLE POUR UNE STATION LOCALE  !!! 


Malheureusement, les trop nombreuses fréquences concédées à France Bleu Haute Normandie asphyxient la bande FM en Seine-Maritime si bien que les projets de radios locales associatives et / ou commerciales sont euthanasiés avant même de présenter leurs candidatures à cause du manque de places disponibles !


Pourquoi le 103,9 MHz ne peut être utilisé en pays de Caux ? Quelle est-elle l'autre station (plus ou moins lointaine) susceptible d'être perturbée par Resonance Autretot ?
*

Qui va continuer de croire ces âneries ? Il n'existe donc vraiment aucune possibilité de dégager ne serait-ce qu'une seule fréquence FM sur un territoire aussi vaste que celui du plateau de Caux ? Rigolades... Quand on sait avec quelle facilité les réseaux parisiens - et ceux désormais hors 76
(voir exemples récents !) s'implantent sans vergogne et se reproduisent chez nous. 

(jcd)

* 103,9 MHz a été promis à RFM Le Havre - et tenir compte de la fréquence trop proche 103,6 du relais France Bleu à Cany.


Voici une liste interminable des chanceuses stations FM autorisées à ce jour en Seine-Maritime  >  ici
source : http://www.frequence-radio.com/departement.php?dep=Seine-Maritime_76
 
Désormais, c'est devenu un jeu favori : amusez-vous à compter dans cette liste de stations autorisées, le nombre de radios
véritablement locales !
(avec animateurs haut-normands et studios locaux près de chez nous !)
 

 

1995

Le Havre Presse - 1er août 1995





Encore un coup d'épée dans l'eau ?


ART LIBRE FM : radio locale autorisée en août 1995 à Fécamp sur 89,8 MHz.

Elle émane de l'
association Le Moulin des arts. Ses studios sont situés au 190 rue de Valmont à Fécamp.




Hum, mouais.  Quelqu'un a-t-il eu des nouvelles ???...



9 octobre 2007 :

https://politique.pappers.fr/document/decision-n-2007-909-9-octobre-2007-portant-reconduction-lautorisation-delivree-lassociation-moulin-arts-lexploitation-dun-service-radio-categorie-voie-hertzienne-terrestre-modulation-frequence-intitule-art-libre-fm-898-mhz-JORFTEXT000000158249


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Décision du CSA

Art Libre FM (Seine-Maritime) : autorisation abrogée

Assemblée plénière du Publié le En juin 2009, l'association Le Moulin des Arts ayant décidé de ne plus diffuser son programme Art Libre FM
sur la fréquence 89,8 MHz qui lui avait été attribuée à Fécamp (Seine-Maritime),
son autorisation
est abrogée par le CSA, à sa demande.
Le CSA a abrogé l'autorisation correspondante.
 

CSA – Abrogation de l’autorisation de Art Libre FM (Fécamp)

Décision n° 2009-317 du 5 mai 2009 portant abrogation de la décision n° 98-148 du 31 mars 1998 autorisant l’association Le Moulin des arts à exploiter un service de radio de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Art Libre FM NOR: CSAC0911893S Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Vu la lettre du 11 mars 2009 par laquelle l’association Le Moulin des arts informe le conseil qu’elle renonce à l’utilisation de la fréquence 89,8 MHz qui lui avait été attribuée, dans la zone de Fécamp, par la décision n° 98-148 du 31 mars 1998, reconduite par les décisions n°s 2002-891 du 8 octobre 2002 et 2007-909 du 9 octobre 2007, pour l’exploitation d’un service de radio de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Art Libre FM ;
Après en avoir délibéré, Décide :
Art. 1 La décision n° 98-148 du 31 mars 1998, reconduite par les décisions n°s 2002-891 du 8 octobre 2002 et 2007-909 du 9 octobre 2007, est abrogée.
Art. 2 La présente décision sera notifiée à l’association Le Moulin des arts et publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 5 mai 2009.Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, M. Boyon

https://www.schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=2938


https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000278216
 

 

2008

resonance
FECAMP, LE 22 AOUT 2008

Article paru dans Le Progrès de Fécamp - Paris-Normandie

        La radio qui résonne fort


Issu de la recherche acoustique automobile, Francis Delafosse patron de Radio Résonance à Toussaint


"Enfin ! Le CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel) et le CTR de Caen (Comité technique radiophonique) ont pris en compte la réalité du terrain !" Francis Delafosse est un directeur de radio heureux. Très heureux.
Après la création de Radio Résonance en 1984 à Bolbec, il postulait à une plus large couverture depuis dix ans. Le temps de concrétiser techniquement la décision officielle, la "radio hit" sera audible par les Havrais et les Dieppois en octobre. Par extension, également à Montivilliers et jusqu'à Deauville et Honfleur, à Fontaine-le-Dun, Doudeville et au Sud de la Somme.

Déjà, en 1998, l'émetteur de Saint-Valery-en-Caux avait permis de desservir Cany-Barville, Fauville-en-Caux, Yerville et le Nord d'Yvetot. "A chaque appel à candidatures, nous demandions à émettre au Havre, à Dieppe et à Rouen. Deux fréquences nous sont attribuées. Nous ne sommes pas mécontents…" Car, depuis les radios pirates des années soixante-dix, l'histoire du média radiophonique est une saga de luttes d'influence souvent émaillées d'interventions policières et de procès.

Prochaine étape : Rouen

"Nous donner la fréquence de Fécamp en 1990 avait été un cadeau empoisonné. Avec davantage de bonne volonté que de connaissance juridique, nous avions beaucoup investi à Bolbec. Nous touchions 50 000 auditeurs jusqu'à Lillebonne et Notre-Dame-de-Gravenchon. A Fécamp, avec 20 000 habitants, installés dans un hangar délabré de Babeuf, tout en modernisant Bolbec, nous avons déposé le bilan. Dix ans à éponger les dettes !"

Parmi les deux milliers de radios locales, indépendantes, privées à vocation commerciale qui fleurissaient vers 1990, une sur dix a survécu. Radio Résonance est de celles-ci. Elle appartient à un GIE (groupement d'intérêt économique) de 111 stations à la dénomination bien choisie des "Indépendants". Soit 8 millions d'auditeurs pour 14 % de part de marché.

Avec son plan FM 2006-2008, le CSA rééquilibre le jeu. "Bien sûr, il y a des déçus, commente Francis Delafosse. Je dirais que les stations qui respectent leur cahier des charges sont satisfaites. Notre audimat varie entre 30 000 et 70 000 auditeurs parce que la méthodologie de Médiamétrie n'est pas adaptée. En tout cas, commercialement, nous étions sur le fil du rasoir. Là, nous sommes traités équitablement et en mesure de dépasser un seuil de viabilité."

"De Deauville à Dieppe", tel est le slogan qu'envisage le directeur de Radio Résonance. Elle s'empare ainsi de deux bons tiers de la Seine-Maritime. "Nous ne renonçons pas à Rouen. Mais la donne sera bientôt différente, avec le passage de l'analogique au numérique".

Pierre-Georges CANU

 

15 juillet 2011 :
 

 

                                                                             Février 2017

                                  Encore une radio locale de moins en Seine-Maritime...

 
 
                      LA FIN DE RéSONANCE ?



                                           TENDANCE OUEST officialise le rachat de  Resonance

La radio régionale Tendance Ouest poursuit son développement en Normandie avec la reprise de Resonance, radio implantée en Seine-Maritime. Cette acquisition permet à Tendance Ouest d'augmenter son audience de 75 000 auditeurs supplémentaires.

 

                                                             Extrait de www.tendanceouest.com
                                                     
Publié le 11 juillet 2017 à 22h24 Par Tendance Ouest


         Le fondateur de RÉSONANCE se justifie
 



Depuis le 3 juillet 2017, les radios Résonance et Tendance Ouest ne font plus qu'une seule et même radio. Tendance Ouest est, comme Résonance, une radio musicale de proximité avec des agences à Cherbourg, Saint Lô, Alençon, Caen et Rouen. Les équipes de Résonance, animateurs, journalistes, commerciaux, viennent agrandir les équipes de Tendance Ouest et poursuivent leur mission depuis Fécamp.




     < Francis Delafosse, fondateur de la radio Résonance


 
          


Francis Delafosse, Fondateur de Résonance, tient à rappeler les raisons de son départ et pourquoi il a choisi Tendance Ouest pour poursuivre la mission de Résonance en Seine-Maritime. "C'est en 1984 que RÉSONANCE arrive sur les ondes de la Vallée d'Or. Rapidement la radio trouve son public et au fil des années plusieurs fréquences sont mises en service sur une grande partie du département de la Seine Maritime. À partir de 2009 l'audience bat son plein pour atteindre plus de 80 000 auditeurs par jour en 2013."

"Ce fut un grand plaisir de diriger la radio pendant 33 années, en gardant à l'esprit cette mission de service pour nos auditeurs et nos clients. Avec l'équipe de professionnels dans les studios et sur le terrain, nous avons gagné le challenge: RESONANCE est un média incontournable."

"Puis il arrive un jour où le moment du repos et de la retraite suit une carrière accomplie. Pour cela je me devais de transmettre cette radio dans de bonnes mains. Cela vient de se réaliser en février 2017. Tendance Ouest, radio confrère, à l'origine en Basse Normandie, souhaitait se développer et couvrir la nouvelle région normande. J'avais connaissance du bon profil de cette radio, ces programmes sont en tous points semblables à RESONANCE, avec même un avantage : une plus grande force sur l'information locale et régionale."

"C'est avec fierté que je confie RESONANCE à TENDANCE OUEST. Nous venons d'assister à la naissance d'une radio de dimension régionale, où proximité et convivialité primeront, la Normandie le méritait."


Francis Delafosse, fondateur de RESONANCE



( No comment ! )

 




                    Lien vers le site SCHOOP pour plus de détails sur l'histoire de RADIO RESONANCE
                                                                   https://schoop.fr/ficheradio.php?id_radio=473




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