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Radio Solaris

       



Chaque vendredi soir de 22.00 à Minuit    
 (et parfois au-delà...)
                          
                     


Les "Girls d'Enfer"
 

     Les "Girls d'Enfer" (diffusées de 1982 à 1985)
font partie de la légende de RADIO SOLARIS.
L'émission-phare de la station, pleine de
bonne humeur et de moments intenses
de libre parole offerts aux auditeurs, était
"LE" rendez-vous incontournable des
Cauchois, attendu (fébrilement)
chaque vendredi soir
à 22 heures !

21 enregistrements des  > "Girls d'Enfer"  (de 1982 à 1985) sont à retrouver à la fin de cette page !   

C'est aussi le moment de partager vos anecdotes et vos souvenirs personnels de cette grande époque des "Girls d'Enfer"...
avant qu'ils ne disparaissent à jamais de vos mémoires !   Rejoignez-nous vite dans notre > 
BLOG



Le studio des
"Girls d'enfer",
émission vedette
du vendredi soir...
 



Chaque semaine, la composition de l'équipe changeait.
Un exemple ce soir-là  >
de gauche à droite,
étaient présents :
à la technique, Pierre tout juste visible derrière la vitre, Didier, Daniel, Bruno, Gérard, Jean-Jacques, Marylin...
 et évidemment les
"Girls d'Enfer" en ligne
au 95.41.42...

... sans oublier les fidèles
de Radio Solaris devant
leur poste !

 

Les Girls d'Enfer










































                                                                                                                                                               photo : Jean-Jacques


                 

        Juste un e
xtrait de  "L'Histoire d'une Radio libre" , le chapitre sur :
 

              
    " Les Girls d’Enfer " 



(...)

Il est temps d’évoquer ici le rendez-vous attendu des Cauchois tous les vendredis de 22 heures à minuit sur 99 MHz et parfois un peu plus, suivant l'humeur et la forme physique de nos amis dans le studio, pour deux heures d'intenses rigolades avec les Girls d'enfer !
Derrière la vitre, à la technique, Daniel V, notre technicien-animateur bien aimé et particulièrement en pleine verve chaque vendredi soir, devient le
Grand Prêtre de la Radio ! Jusqu'alors, tout en continuant sa tâche de responsable technique, il avait déserté depuis plusieurs mois l'antenne de Solaris sans trop d'explications précises. Caprices de star ? Tout de même pas ! Peut-être exprimait-il ainsi une divergence d'opinion vis-à-vis du choix de programmation adoptée par les pontifes de la radio ? Nul ne le sait (ou ne s'en rappelle). L'un des rares à maîtriser le micro, c'était regrettable de se passer de Daniel et de ne plus pouvoir l'entendre chez nous. Sont-ce nos incessantes suppliques qui l'ont incité à revenir devant le micro, au premier plan ? A notre grande satisfaction, enfin il a accepté de reprendre le crachoir - profitons-en ! - après ces quelques mois d'abstinence verbale dont lui seul connaît les raisons. Qu'importe. Le principal, c'est qu'il soit là. No comment... comme l'on dit dans ces cas-là, en ajoutant à la façon Les Inconnus : "Cela-ne-nous... re-gar-de-pas !


En face dans le grand studio, autour de la table ovale, il y a (ça change chaque vendredi) Pierre, Gérard, Arielle, Didier, Jean-Jacques, Martial, Rod, Marylin, Rose-Laurence, le
Grouillot en arrière-plan... et bien d'autres dont j'ai oublié les prénoms après tout ce temps. Et puis il y a des invités. Selon la grande tradition, ces derniers ne pourront pénétrer dans les lieux qu'en poussant la porte d'entrée avec leur pied ! Leurs bras étant impérativement encombrés de bonnes bouteilles ou de mets appétissants typiquement cauchois, comme des... pizzas ou des crêpes ! Pierre précisera par la suite que les pizzas étaient aussi avalées juste avant l’émission dans un resto italien du centre d’Yvetot, au cours de repas copieusement arrosés... pour être en pleine forme ! Alcool sans modération, ça on l'a bien compris ! Pourtant Pierre a déjà oublié les crêpes aromatisées au Grand Marnier largement garnies de confiture, apportées à la station par Joëlle (...). Cette confiture de fraises faite maison, bien liquide qui dégoulinait un peu partout dans le studio et dont on a retrouvé le lendemain quelques traces collantes et sucrées sur les bonnettes des micros, puis d'autres reliefs du côté de la technique, incrustés le long des curseurs de la table de mélange... On se rappelle sûrement des bonnes bouteilles apportées par ce jeune lycéen à la voix gouailleuse dont le prénom m'échappe, décidément cette mémoire...*  La boisson comportait bien des bulles pétillantes mais il ne s’agissait que de Sprite, un liquide festif moins prestigieux. “Humiliés et contrariés, Daniel et son équipe qui espéraient siroter un autre breuvage, ont quand même daigné poursuivre l’émission, non sans avoir raillé toute la soirée le pauvre amateur de soda !    ;-))

* ndw : n'était-ce pas "Jean-Yves", d'Yvetot ? 
   (cf l'enregistrement plus bas des 'Girls d'Enfer' n° 6 du 7.12.1984)



Chaque vendredi, l'exercice n'est pas si facile car pour être admis ici, il faut être un bateleur du micro, détenir l'indispensable esprit de répartie, le sens du rebond, la pratique de l'enchaînement, disposer d'une pointe d'exubérance mais pas trop, savoir répondre du tac au tac à l'auditeur à l'autre bout du fil, c'est primordial. Peu d'animateurs et animatrices de la station sont encore suffisamment rôdé(e)s à ce rôle autour de la table ovale. :-/  Pendant les deux heures d'émission en direct, ces joyeux drilles dissertent, la bouche pleine - oui, on le sait, à l'antenne, ce n'est pas très poli - lisent le courrier à haute voix, déclament quelques fines blagues de potaches, avec plus ou moins de succès suivant l'art et la manière de raconter de nos orateurs, inventent des jeux de mots souvent foireux, tentent quelques contrepèteries pas évidentes à remettre dans le bon ordre pour tout le monde, réussissent quelques imitations de personnages politiques en vogue ou délirent au téléphone dans cette joyeuse et franche atmosphère de rigolade avec les auditeurs et les jeunes auditrices surtout, particulièrement délurées de la région, d’où le titre de l’émission évidemment qui leur est dédié. Sur une radio vouée prioritairement à la musique comme Radio Solaris, on ne jacasse tout de même pas pendant toute la soirée. En effet ce programme de libre antenne est entrecoupé de quelques tubes puisés au fur et à mesure dans la discothèque, en fonction des dédicaces réclamées, par le Grouillot, un jeune étudiant fidèle au poste chaque semaine. Lui ne rêve que d'une seule chose, devenir un jour animateur à Solaris ! Malgré de nombreuses cassettes d'entraînement effectuées dans le studio 2, ses efforts ne sont toujours pas récompensés. En attendant, il paraît qu'à la longue, le terme grouillot dont il est affublé, n'est pas valorisant à entendre à l'antenne. Pourtant c'est bien le nom utilisé couramment dans les entreprises de presse pour désigner le jeune employé à tout faire, futur (grand) journaliste ! Mais Gérard, notre président trouve cela dégradant. Soit ! Si le terme nous semblait amusant au début, évidemment, il n'a rien de péjoratif dans nos esprits ni dans nos grandes gueu... d'enfer !


D'ailleurs la totale liberté des propos tenus, faut-il le rappeler, prouve que nous sommes ici dans une véritable radio libre. Dès les premières minutes de Girls d'Enfer, les sonneries des téléphones du standard commencent à retentir. Les premiers appels bloquent les quatre lignes groupées. Très souvent, ce sont les habitués qui appellent. Dès 22 heures, chaque vendredi soir ressemble à une série télé sans l'image avec ses personnages attitrés dont on attend la suite de leurs histoires semaine après semaine. Le prétexte de l'appel à la station est d'abord la demande de passage d'un disque quelconque pour les copains et copines qui écoutent aux alentours, pour la famille et amis rassemblés non loin du transistor. Parfois le disque est dédié à l'équipe de Solaris elle-même qui se montre alors très touchée de cette délicate attention. Tour à tour, nos lurons jouent la connivence et posent des questions fort souvent indiscrètes à ceux et celles qui ont l’audace - ou disons, la naïve inconscience - d’appeler et d'engager la conversation. Bien sûr, dans ces paroles échangées, il n'y a pas la méchanceté et le cynisme que l'on connaît désormais sur les radios (parisiennes) actuelles où ne règnent que l'insolence et le ricanement ! Dans les Girls d'Enfer, tout le monde joue le jeu. D'ailleurs on se défend d’aborder les sujets graveleux. Ceux-ci sont “à peine” effleurés. Les anciens auditeurs vous le confirmeront !... Bon allez, oui admettons-le, il y a quelques petits dérapages volontaires, il faut bien le dire, suffisamment nombreux et c'est évidemment le but recherché pour booster l'audience c
haque vendredi et créer l'événement de la soirée ! Maintenant on dit faire le buzz !


Comme l'a écrit un correspondant, auditeur des
Girls d'enfer : Cette émission permettait de rapprocher les auditeurs, on passait deux heures de détente. Même si Pierre et Daniel charriaient un peu les gens qu'ils avaient au téléphone, ils les respectaient toujours, ce qui n'est malheureusement plus le cas maintenant dans les émissions de libre antenne...


évidemment, les auditeurs cauchois peuvent regretter cette grande époque de Radio Solaris où la possibilité de s'exprimer librement sur une antenne leur était largement offerte ! La radio locale jouait son rôle de porte-voix dans la région et autorisait l’auditeur à se libérer et ainsi d'exister.
Phénomène exceptionnel en ces années 80, la radio n’est plus le média à sens unique que nos parents et grands-parents connaissaient depuis toujours. Le téléphone à la radio dont on abuse aujourd'hui pourtant, autorise la participation (et l'intrusion) de l’auditeur dans le programme lui-même, satisfait son ego, son désir de prise de parole et sa satisfaction de
passer à l'antenne : Merci de ME DONNER la parole, Merci de prendre mon appel pour les plus humbles. N'oublions pas les malotrus exaltés, avides de notoriété soudaine et impatients de délivrer leurs diatribes virulentes sur les antennes à sensation : Moi, je sais de quoi je parle !" et le summum : Laissez-moi parler, car vous, vous avez le micro toute la journée pour vous exprimer...


                        

Loin de telles arrogances, la conversation moins passionnelle en pays de Caux avec les auditeurs, rompt la solitude des gens isolés, éparpillés dans la campagne, avec un sentiment accentué particulièrement la nuit comme le démontrent les discussions des Girls d'enfer. Donner la parole à un inconnu en direct est toujours un risque. A de rares occasions, l'interactivité et le débat improvisé peuvent tourner à l’aigre lorsque la politique (beurkkk !) pointe le bout de son nez. Une radio locale même libre doit se conformer à des règles : elle peut être un outil dangereux (pour elle-même) lorsque le nom d’un notable local ou celui d'un personnage public est diffamé à l'antenne, pour de bonnes raisons ou non. Sans vouloir censurer qui que ce soit, il faut être diplomate et avoir un vif esprit de répartie pour conclure un dialogue ardent et orienter des propos hors limite - non politiquement corrects, comme il importe de dire ! - de son correspondant vers un sujet plus anodin. Il faut posséder une réelle maîtrise du micro, fort heureusement avec l'auditeur cauchois, réputé fort en gu..., ça n'ira jamais loin.
C'est évidemment cette possibilité offerte au citoyen ordinaire de s'exprimer librement en public, de façon autant débridée qui effraie tant les politiques de tous bords depuis la fin (forcée ?) du monopole et l'invasion des radios indépendantes (libres) en province.
(...)
 


Tous les vendredis soir, devant la gare d’Yvetot, des familles venues accueillir un des leurs, attendent le dernier express en provenance de Paris. Pour patienter durant les quelques minutes, elles ont branché l’autoradio : les rires éclatent dans les voitures un peu partout sur le parking simultanément ! Visiblement, tout le monde est branché sur le même programme. A leurs mines hilares, pas besoin de deviner ce que ces gens écoutent ! Citons le cas où de très jeunes auditrices appelaient la station à l’insu de leurs parents. Enfermées dans leur chambre pour ne pas se faire surprendre, elles chuchotaient devant le combiné, dissimulées sous une couverture. A l’autre bout du fil, Daniel d'un air très sérieux, à quelques millimètres du micro, répondait d'une voix identique sans être perturbé par les rires étouffés de l’équipe. Cet échange de propos murmurés à l’antenne prenait une dimension pathétique dans le silence et l'obscurité de la nuit ! L’auditeur isolé dans son hameau, mêlé au dialogue, devenait sûrement un complice lui aussi et s’imaginait comme des centaines d'autres, en plein cœur d’un mélodrame !

 



La place de la gare
d'Yvetot d'apparence très calme le jour, était
en effervescence
le vendredi soir à
22 heures...
 




L’atmosphère était à son comble encore une fois, lorsque Daniel, les mains en porte-voix devant le micro, avec l’écho réglé bien à fond dans les hauts parleurs de retour-studio, s'adressait à on ne sait quelle bande de forcenés et se mettait à hurler à la cantonade : Rendez-vous... vous êtes cernés” ou bien parodiait de sa voix de stentor la fameuse scène de Jean Gabin, Bourvil et Louis de Funès dans le film « La traversée de Paris » : « Jambier, j’veux deux mille francs, Jambier, 45 rue Poliveau… » Sans oublier les imitations de nos grands personnages politiques et du show-biz, inspirées des marionnettes satiriques du Bébète Show de la télé, débarquées dans la nuit, ici au beau milieu du pays de Caux. (Les Guignols de Canal Plus n'existaient pas encore) Tous les personnages parodiés y passaient. Le Général Buzard : Attendez voir, bandes de p'tits salopards !!! Ces gamines, de l'autre côté du poste, un rien les amusait, tout les excitait. Chaque imitation provoquait les éclats de rire de toutes ces Girls d'Enfer au bout du fil. Imaginez un instant la tête d'auditeurs occasionnels revenant d'une soirée, au milieu de cette loufoquerie, en quête d'une station, prenant l’écoute sur leur auto-radio par pur hasard : Mais qui sont ces fous furieux échappés d'un asile d'aliénés qui viennent d'envahir cette radio ? De nos jours, un tel bastringue sur les ondes pourrait-il encore se reproduire ?


Encore un mémorable souvenir à l'antenne de Radio Solaris : citons l’appel de cette jeune femme peu farouche prénommée Danièle qui avoue être “pelotonneuse” dans une filature de la région de Bolbec. Inutile de préciser que ce terme de métier vite transformé en peloteuse a créé l’hilarité générale dans le studio une bonne partie de la soirée. Les questions ont “fusé” (jeu de mots facile !) de toute la table ovale pour en savoir plus sur cette demoiselle et bien qu’il ne s’agisse que de conduire une machine servant à enrouler du fil sur des pelotes, vous imaginez bien quel sens a pris la conversation !
Aujourd'hui, qu'est devenue notre Danièle
de Bolbec après toutes ces années.? Se souvient-elle encore de cette joyeuse soirée hilarante de radio ?
*

* NB : l'épisode 'Danièle de Bolbec' peut être réécouté 
   >
  extrait GE 8 du 2.11.1984


Parmi les auditeurs de cette période, il est difficile de se rappeler de tout le monde, de tous ceux qui ont appelé ou tenté d'appeler chaque vendredi le 95.41.42 - un numéro systématiquement bloqué - ou adressé des messages via la boîte postale 101 à Doudeville. Il y a beaucoup de personnes qui ne resteront que des prénoms, simples voix à l'autre bout du téléphone, Corinne et Joëlle d'Yvetot,
Barbara de Foucart, Véronique et la bande d'Ourville-en-Caux, Pierre de Lillebonne, Jean-Yves d'Yvetot, Danièle de Bolbec, Francine de Saint-Nicolas-d'Aliermont, Claudine de Sainte-Marie-des-Champs, Thierry dit Grisou de Bourg-Baudouin, Catherine de Quillebeuf-sur-Seine, ou encore Agnès, Marie-Christine, Patricia, Nicole, Nathalie, Philippe, Mario et ceux ou celles qui en dehors des demandes de dédicaces, entretiendront avec nous une correspondance fidèle :  Austin Mini, Babybel, Martine... Pardon de ne pas citer tout le monde. Que sont-ils (elles) devenu(e)s ?


Certaines demoiselles Girls d'Enfer n’hésiteront pas à venir en personne aux studios, découvrir quelles têtes peuvent bien avoir ces ahuris qu'elles entendent délirer sur tout le pays de Caux devant les micros de Solaris. Même s'il n'y a jamais eu de cars entiers stationnés devant l'entrée rue Pierre et Marie Curie, ces visiteuses débarquent dans l'antre, chaque vendredi en bandes courageuses de deux, trois ou quatre filles ! Forcément, on n'est jamais trop prudentes. Ces saltimbanques de Solaris n’ont pas l’air bien sérieux dans leurs têtes !


Un autre habitué sympathique, auditeur esseulé, prénommé également Pierre, appelait en cours de soirée, le standard des Girls d’Enfer, souvent à l’insu de sa femme, pendant que celle-ci, infirmière, était de service dans un hôpital de Lillebonne. Il parlait de choses et d’autres, de son couple, de choses plus ou moins intimes, profitant de l’absence de sa dame...


Par la poste, la station recevait durant la semaine beaucoup de courrier. La plupart du temps, c’était de simples messages pour les “Dédicaces du dimanche matin” ou bien des demandes de photos dédicacées de nos trombines de super stars ! Dans ce courrier, il y avait les lettres touchantes de jeunes gars et filles. Grâce au pouvoir mystérieux de la radio, ces jeunes derrière le transistor percevaient ou imaginaient beaucoup plus sur nos personnages que ne le révélait le simple son de nos voix. Peut-être s’ils avaient vu nos visages, nous aurions eu nettement moins d’attention ! Le choix de nos disques et la façon d’associer les titres entre eux, lorsque nous avions la maîtrise totale de ce choix, véritable privilège, dévoilaient notre personnalité. Si ça se trouve, une oreille attentive aurait pu y déceler quelque message caché.


(...)


Il est évident que beaucoup de jeunes auditeurs étaient “accros” à la radio et idéalisaient les personnages qu’ils entendaient sans pourtant les connaître. Évidemment, nous étions semblables à eux, avec quelques années d’écart, sûrement ! Mais l’énorme différence, c’était d’être de ce côté du micro qui nous donnait tant d’importance !


Pour conclure, “Girls d’enfer”, émission pleine de bonne humeur a été, l’un des gros succès de la station et ces moments intenses de libre parole resteront gravés dans nos mémoires et celles de bon nombre de Cauchois.

 
JCD  © radiosolaris.free.fr  - 2001

Le texte intégral est à retrouver dans le livre "Une Radio libre en pays de Caux"...  et rendez-vous au chapitre 1985 !

 




Extrait du Blog à la date du 19/09/2006
A propos des GIRLS D'ENFER, nous avions reçu ce témoignage d'ANNE N...
*


" Bonjour Jean Claude,

Bravo pour votre site qui m'a rappelé pleins de souvenirs de l'époque où j'écoutais Radio Solaris (...)

Girls d'enfer a contribué à créer la légende de Solaris. J'ai beaucoup aimé l'analyse que vous en faites dans l'histoire de la radio. Il est vrai que cette émission permettait de rapprocher les auditeurs, on passait deux heures de détente. Même si Pierre et Daniel "charriaient" un peu les gens qu'ils avaient au téléphone, ils les respectaient toujours, ce qui n'est malheureusement plus le cas maintenant dans les émissions de libre antenne.
.. "


* à cette occasion, nous adressons un grand merci à ce correspondant (qui a souhaité resté anonyme) de nous avoir communiqué les enregistrements des G.E. du 2, 9 et 30 mars 1984 à retrouver plus bas dans cette page.

 





12/11/2016 - Un message de KRISS (Région parisienne)
Après avoir découvert notre site "Radio Solaris", Kriss est devenu auditeur assidu des "Girls d'Enfer", enfin uniquement des quelques émissions que nous avons mises en ligne (cf la
liste en bas de page).


" Salut les amis,

Je vous avais contacté il y a une dizaine d'années -
cf le blog au 15.06.2007 - pour vous dire tout le bien que je pensais de Radio Solaris. Je suis toujours en région parisienne et j'adore toujours le soir écouter les Girls d'enfer. Je regrette d'ailleurs qu'il n'y ait pas plus de supports d'émissions.

Je voulais juste vous poser deux trois questions qui me trottent dans la tête. Tout d'abord, que sont devenus Pierre et Daniel, ont-ils poursuivi leur carrière dans le domaine de la radio ? Ensuite, sur l'un des enregistrements, Mario le routier fait savoir à Pierre et Daniel qu'il écoute l'émission à la sortie de Versailles. Est-ce vrai ? Je veux dire, est-ce que l'émetteur était à ce point puissant pour arriver aux portes de la région parisienne ?

Enfin dans un autre enregistrement, Pierre et Daniel parlaient de Télé Solaris sur le canal 69. Etait-ce une légende ou un projet ? A-t-il vraiment vu le jour ?

Merci en tout cas pour ces souvenirs d'une époque ou de toutes façons la vie ne pouvait être que plus légère par rapport à celle que nous vivons.

Bien amicalement,

Kriss "

 

> Bonjour Kriss,

Content de te lire à nouveau après toutes ces années. Et toujours agréablement surpris de ton intérêt à notre station que tu ne pouvais entendre à l'époque du fait de la distance, les lois de la physique ne font pas de miracles. Notre émetteur nous donnait un rayon d'action de 60/70 kilomètres autour d'Yvetot. Au-delà, cela tenait de l'exploit technique en fonction des conditions stratosphériques, météorologiques, etc.

Pour les enregistrements de Girls d'enfer, seuls deux ou trois correspondants que nous remercions infiniment, ont répondu à nos appels de recherche. Il semble que pas grand monde enregistrait à l'époque (sauf pour "repiquer" les disques que nous diffusions !) et/ou n'a conservé ses vieilles cassettes de Solaris.

Pour répondre à tes questions sur Daniel et Pierre, je peux simplement dire qu'ils n'ont pas continué leur carrière dans la radio. Daniel est toujours musicien (...) Quant à Pierre, s'il a tourné la page, il est toujours dans le dessin ! (cf notre blog)

 

A l'époque, il y avait une connivence entre eux deux où au détour d'une phrase, ils arrivaient à broder des histoires complètement extravagantes, tournant souvent au délire total. Cela faisait partie du jeu où ils improvisaient des réponses aux courriers qu'on recevait. Certains auditeurs entraient dans le jeu. Bien sûr il ne fallait pas croire au pied de la lettre tout ce qui se disait, notamment le fait qu'on pouvait entendre Solaris aux portes de Paris, ce qui était impossible, on l'a déjà dit (ou alors par une cassette déjà enregistrée !) Je suppose qu'il y avait là un clin d'œil (ironique) à nos concurrents de RVS à Rouen qui se "targuaient" d'atteindre la capitale !

 

Je me rappelle aussi d'un courrier bizarre d'une auditrice qui n'arrêtait pas de clamer qu'elle connaissait "personnellement" Yann Hégann, un animateur d'Europe 1 célèbre à l'époque, et qu'ils étaient... comment dire assez... "proches", etc, etc ! Bien sûr, tout cela ressemblait à de la mythomanie ! Je pense et espère que les auditeurs de Radio Solaris savaient faire le tri dans tout ce qu'ils entendaient. Ils avaient appris à connaître nos lascars à la longue et à vivre cette ambiance très décalée des "Girls d'Enfer". Dommage, si seulement Pierre et Daniel acceptaient aujourd'hui de se rencontrer de nouveau pour nous rappeler ces bons moments de radio et en reparler dans ces pages...   ;-)

Pour Télé-Solaris, cela faisait partie d'hypothétiques projets de télévision locale mais là encore, ce n'était pas sérieux, ayant suffisamment de soucis à résoudre avec la radio elle-même ! D'ailleurs le choix du n° de canal laisse deviner le peu de conviction que l'on accordait à ce projet ! Comme les télés locales représentaient un sujet à la mode juste après les "radios libres", le journaliste du "Courrier Cauchois" disposant d'une page à combler (!), était venu à la station, faire un "papier"
(à retrouver p.14 sur le site ) où quelques membres de l'équipe présents ce matin-là à la station, posent pour une photo derrière un vénérable téléviseur (éteint ou en panne). Excellente occasion en tout cas pour reparler de Radio Solaris dans la presse.

Forcément ces années 80 nous paraissent fabuleuses aujourd'hui. Depuis de temps, chacun à Radio Solaris a refait sa vie. Certains d'entre nous ont quitté la région pour diverses raisons - professionnelles ou familiales - et peu sont restés en contact. Inutile de dire que la disparition de la Radio a été l'immense déception pour quelques uns et un gigantesque gâchis pour le pays de Caux redevenu "aphone".

A regret, il faut l'admettre, les temps ont changé. La radio locale n'intéresse plus personne
(notamment du côté de la municipalité d'Yvetot*). Les gens n'acceptent plus qu'on leur impose titre après titre les chansons qu'ils doivent écouter.

Désormais, les jeunes ignorent la "radio" en tant que média et préfèrent utiliser d'autres technologies (plus coûteuses !) pour n'entendre que de la techno ou du rap, leur "musique" favorite.  
 

* le mot d'ordre est : "Plus de vagues... à Yvetot !  évidemment"  

Merci Kriss de partager ces souvenirs et au plaisir de te relire une prochaine fois.

Amicalement

JC


(courrier extrait de la page du "Blog" 12.11.2016)

 

pierre à Girls d'enfer






Pierre dans le studio de Girls d'Enfer et Daniel à la technique (caché derrière la vitre et le support de micro), un soir où la vidéo et ses torches électriques participaient à la fête...






Photo extraite d'un film d'épouvante ? Non, non, c'est le même Pierre de "Girls d'Enfer", surpris sûrement un soir de pleine lune !



                                             








Le mystère de "la voix perçue en arrière plan"
durant l'émission :
le visage de Rose-Laurence,
enfin dévoilé






(Merci à Laurent pour cette photo)



                                                   

Daniel devant carte de France









Daniel, le complice à la technique et au micro
chaque vendredi soir,
maître d'œuvre de l'émission

(ph. Jeff)





                        

 

Les Girls d'Enfer à retrouver très vite...

 avant qu'elles ne disparaissent (mais cette fois à jamais) !



Voici l'occasion de réentendre des extraits de "Girls d'Enfer", l'émission-forum du vendredi soir où la jeunesse cauchoise pouvait s'exprimer très librement ! Dommage, l'expérience n'a jamais été renouvelée ou retentée chez nous avec les radios "survivantes"
*, comme vous le savez.

*  hélas plus d'espoir en pays de Caux ! 
 :-/

Rappelez-vous de : Daniel, Gérard, Pierre, Didier, Martial et le "Grouillot"... avec au téléphone : "Barbara's 13 ans" de Foucart, Véronique et sa "bande d'Ourville-en-Caux", Corinne et Joëlle d'Yvetot offrent des crêpes parfumées au Grand Marnier, garnies de confiture et se consolent de leur note astronomique de téléphone, Pierre de Lillebonne profite de l'absence de Catherine sa compagne pour appeler la station, Jean-Yves d'Yvetot futur informaticien et grand amateur de "Sprite", Danièle la "peloteuse pelotonneuse" célèbre dans tout Bolbec, Francine Descroix de Saint-Nicolas-d'Aliermont, Philippe Anquetil qui éduque Pierre et Daniel à l'art du métier de la boulangerie-patisserie, Claudine Cavet encore bien "cotée" de Sainte-Marie-des-Champs, Thierry dit Grisou de Bourg-Baudouin (Eure) auditeur éloigné, Catherine, la jeune et jolie épicière de Quillebeuf-sur-Seine...

  

 






INFO : 
A ceux qui l'ignorent encore,
le titre de l'indicatif
de l'émission Girls d'Enfer, c'était :
 

"Nowhere Girl  /  B-Movie
Forever Running" 
                  >>
    


ge

 

Voici les 21 enregistrements sauvegardés   ( entre 1982 à 1985 )

« Les Girls d'Enfer »

Extraits sonores classés par ordre chronologique (d'abord le plus récent)


AVIS IMPORTANT :
On ne sait jamais, si dans le tiroir d'une vieille commode, au fond d'une armoire normande ou d'une vieille malle, vous découvrez par miracle une ou plusieurs vieilles cassettes enregistrées - même incomplètes - des "Girls d'Enfer", avant de tout jeter à la benne (ce qui ne serait pas malin !), soyez sympas de nous contacter :  radiosolarisfree.fr
girls

EXTRAIT 1  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 28 juin 1985 )

Les Girls d'Enfer

un trop bref extrait :
6 mn !  
 

Un vendredi soir, le 28 (peut-être?) de juin 1985 avec Pierre,
Gérard, David
et quelques "Girls d'Enfer" au bout du fil : Danièle de Bolbec (zut, on n'a pas le début) et Patricia 19 ans (Arrgh ! La fin est coupée !)

                           

girls8506.mp3


Durée : 6 '
  (Arrgh ! On n'a même pas la fin !)

 

6 précieuses minutes de "Girls d'Enfer" retrouvées à la fin d'une cassette...

Conseil d'ami aux anciens de "Resonance" : n'écoutez pas ! Cela vaut mieux...


Durée : 6'

 

 

Nous remercions vivement Thierry Languil pour l'envoi des 5 enregistrements suivants
de "GIRLS D'ENFER" venus enrichir cette collection de souvenirs sonores

EXTRAIT 2  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 11 janvier 1985 )

"Les Girls d'Enfer"
(très court extrait)      

Commentaire de Rod : "J'ai daté l'extrait au 11-01-1985 grâce à Pierre qui dit "On a dit la semaine dernière qu'on arrêtait l'émission".
(cf extrait 3 ci-dessous)

Pierre lit à l'antenne la lettre d'une admiratrice. Désolé pour la "ronflette"
derrière que je n'ai pas pu supprimer (Rod).

 

Enregistrement : Thierry Languil

Durée :  2' 37"
 

EXTRAIT 3  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 4 janvier 1985 )


"Les Girls d'Enfer"
(serait-ce la dernière ?)

Extraits d'émission avec Daniel, Didier, Stéphane, Bruno

Les auditeurs parlent de leurs cadeaux de Noël et présentent leurs vœux.
En tout cas, ils appellent et ça
s'enchaîne ! Gros doute par contre sur la "dernière" des Girls d'enfer, ça sent le canular ! A noter la première (?) participation de Stéphane (Hagues) à l'émission et la présence d'un certain Bruno qui n'est pas Bruno Gilbert... Pourrait-il s'agir de celui qu'on appelait "le Grouillot" ?
 


Entre
22.00 et 00.10

19850104-2200-0010-Daniel&Didier&Stephane&Bruno-Girlsd'Enfer.mp3

Enregistrement : Thierry Languil


  Durée : 1 h 26' 07"

EXTRAIT 4  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 28 décembre 1984 )

"Les Girls d'Enfer"

avec Daniel, Pierre, Didier
et Gérard


Note de Rod : Très court extrait retrouvé sur une cassette. Avec au début le remix "façon Solaris" du tube de Stevie Wonder  "I just called to say I love you" (incomplet, malheureusement). Ce disque étant sorti en août 1984,
c
e sont Gérard et Daniel, demandant à l'auditeur ce que le Père-Noël lui a amené, qui m'ont permis de dater cet extrait au vendredi 28 décembre.


Entre 00.02 et 00.07
 

Durée : 4' 44"
Enregistrement : Thierry Languil

EXTRAIT 5  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 21 décembre 1984 )

"Les Girls d'Enfer"

de 22.13 à 00.28

avec Daniel, Pierre, Didier, Gérard, Jean-Patrick et l'accordéoniste Bruno Lorenzoni

Commentaire de Rod : une émission mémorable, ce "Girls d'enfer" de Noël semble avoir été particulièrement
arrosé !


             

 

19841221-2213-0028-Daniel&Pierre&Didier&Gerard&JeanPatrick-GirlsdEnfer(StereoFM).mp3

Durée : 1 h 34' 54"

Enregistrement : Thierry Languil

Remarquons la présence de l'accordéoniste Bruno LORENZONI qui joue en direct lors
de cette émission et qui serait aussi venu plusieurs fois par la suite. Il était assez connu,
il a accompagné plusieurs chanteurs et composé des génériques pour la télévision
 

EXTRAIT 6  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 7 décembre 1984 )

841207
"Les Girls d'Enfer"
 

L'enregistrement démarre à 22.30
et se poursuit jusqu'à 00.08


Avec Daniel, Pierre, Didier
et au téléphone, par ordre d'apparition :


Agnès de Bolbec,
Fabienne
de Valmont ;
Micheline de Pont-Audemer,
Jean-Yves
d'Yvetot (amateur de Sprite ! - voir aussi l'émission du 2.11), Sébastien d'Yvetot,
Valérie
de Gruchet-le-Valasse, et Jérôme de Pont-Audemer

(enregistré depuis Rouen, légères interférences)
 
Durée : 1 h 38

ge3EXTRAIT 7  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi ? novembre 1984 )

"Les Girls d'Enfer"


avec Daniel, Pierre, Didier
.
Imitation de Jean Patrick, Auditrice Nicole qui se fait passer pour Danièle

Commentaire de Rod : Daniel dit que la Saint-Daniel,
11 décembre, c'est bientôt... Plus loin, on passe l'indicatif de Jean-Patrick "Dave Grusin - Shuffle city", sorti en 1984... Par défaut, j'ai donc daté l'extrait en novembre 1984. Effectivement, il y a un gros souffle à cause du faible niveau d'enregistrement de la cassette. J'ai enlevé un peu de souffle, c'est malheureusement au détriment de la compréhension des voix, mais Nicole au téléphone passe bien.
  (Rod)

 

19841100-0000-0000-Daniel&Pierre&Didier&David-GirlsdEnfer.mp3

Durée : 19' 11"

Enregistrement : Thierry Languil

ge3


EXTRAIT 8  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 2 novembre 1984 )

          
   "Les Girls d'Enfer"

LE MEILLEUR  des G.E. avec la
"pelot
(onn)euse" * de Bolbec !

(* un raccourci osé de la fine équipe...
la "pelotonneuse" est un terme de métier employé dans les filatures)



Début d'émission avec Daniel, Gérard, Pierre, le "Grouillot"
et au téléphone :
"Barbara's 13 ans" de Foucart (Seine-Maritime) ; 
Véronique
16 ans et la "bande d'Ourville-en-Caux" ;
Corinne
et Joëlle d'Yvetot avec les crêpes au Grand Marnier, la note de téléphone...
Pierre de Lillebonne ; Jean-Yves d'Yvetot
et Danièle 19 ans, "la pelot(onn)euse" célèbre dans tout Bolbec...


                                                              Durée : 1 h 34'

EXTRAIT 9  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 6 juillet 1984 )


"Les Girls d'Enfer"

Entre 22.25 à 23.45

Extraits d'émission avec Daniel, Gérard, Pierre, Didier et au téléphone ou par le courrier :
Austin Mini de Doudeville ;
Laurent de Toussaint (près de Fécamp) ; Martine de Fécamp et Arnaud d'Yvetot

    /|\ coupure de 20 mn à mi-parcours                             


 

 

Les 3 enregistrements de GIRLS D'ENFER suivants (30.03.84 - 9.03.84 - 2.03.84) nous ont été
adressés par "Anne N." correspondant(e) anonyme que nous remercions vivement

EXTRAIT 10  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 30 mars 1984 )

girls
 
"Les Girls d'Enfer"

avec Daniel, Pierre, Didier Rod et Jean-Luc

Avec ce soir Daniel, Pierre, Rod,
Jean-Luc
et au téléphone :

- Alain, téléspectateur de TF1
apprend la naissance de TV Solaris sur le canal 69
- Francine Descroix, à
St-Nicolas-d'Aliermont

- Gérard de Bolbec, artiste
 peintre et le jus de raisin
- Dominique de Grémonville
- Françoise d'Yvetot et le cours de
médecine sur "la rotule"

 

 


Durée : 1 h 15' 25"



Daniel
 

EXTRAIT 10  -  LES GIRLS D'ENFER ( Vendredi 9 mars 1984 )



"Les Girls d'Enfer"

avec Daniel, Pierre, Didier et Gérard
 


- Ce soir Philippe Anquetil éduque
Pierre
et Daniel à l'art de la boulangerie-patisserie, devant sa famille réunie Ginette, Mimi, Sylvie et Chrystèle
- Claudine Cavet encore "bien cotée" de Sainte-Marie-des-Champs avec son mari Michel
- Thierry dit Grisou de Bourg-Baudouin (Eure), un auditeur éloigné
- Catherine, jeune et sûrement jolie épicière de Quillebeuf-sur-Seine
- Stéphane de Normanville et sa frangine Valérie
- Un Bonjour au "bagouin" de la part de Lionel avec le jingle "Michael Jackson" réalisé en live !

 


 



Durée : 1 h 25' 36"

EXTRAIT 12  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 2 mars 1984 )

"Les Girls d'Enfer"

avec Daniel, Pierre


  - Mario le routier (quelque part entre Versailles et Luneray)
 
- Nathalie ou Thalie avec
     son frère Stéphane
  - Françoise (d'Etalleville par Doudeville) qui aimerait bien danser avec Pierre ! Mais Pierre sait-il
danser ?
  - Michel du Havre, le compagnon de Bernadette avec un festival de calembours
  - Patricia (à moins que ce ne soit Nicole ?) Qu'importe son vrai prénom, mais pourra-t-elle écouter son
disque ?


  Pierre et Daniel (derrière la vitre)

Durée : 1 h 15' 48"
 

EXTRAIT 13  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 13 janvier 1984 )

"Les Girls d'Enfer"


avec Daniel, Pierre, Martial, Didier et au téléphone : Yves, de Bolbec et son disque de hard rock
Nicole
"décalcifiée" et les cadeaux de Noël ; Catherine d'Oherville (près d'Héricourt-en-Caux) et le
 dialogue de sourds...

.

      Durée : 45' ...  oups, seulement !



De 22.00 à 22.45


  En ce vendredi 13, la fine équipe est au rendez-vous. La fin est
un peu brutale : encore une cassette trop courte ce soir-là...

EXTRAIT 14  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 6 janvier 1984 )

"Les Girls d'Enfer"

Les premières "Girls d'Enfer" de
l'année 1984.
avec Daniel, Pierre, Didier et une aventure "sanitaire" dans le local de l'émetteur !
Au téléphone ce soir, Yves Caillot, Isabelle Caillot et le "pote" à Caillot

 



De 22.04 à 22.51

19840106-2204-2251 Daniel&Pierre&Didier-Girlsd'Enfer(StereoFMremix).mp3

L'enregistrement se termine un peu brutalement... fin de cassette oblige...

 Durée : 47' 23

EXTRAIT 15  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 11 novembre 1983 )

"Les Girls d'Enfer"  
Entre 22.00 et 23.33


avec Daniel, Pierre, Didier
       
et au téléphone :
- Catherine 15 ans, "musclée de partout" de Bolbec
- Eric 18 ans, le grand frère de Catherine

- Zouzou, Toutou, Patricia d'Yvetot, "les histoires de
famille !"

- Françoise et ses 14 invités à Héricourt-en-Caux

Pour info, François et Rod sont au "standard"
 

 

Encore une bonne occasion de rire, avec la fine équipe, pour ceux qui ont encore "quelque chose entre les groseilles", le nouveau slogan de ce soir. Faites connaissance avec le plus beau bébé du Havre...

                          Durée : 1 h 34' 57" (il manque 2 mn au milieu de l'enregistrement)

Commentaire de Rod : - J'ai ajouté le disque "David Bowie - China girl" qui est passé à l'antenne pendant qu'on retournait la cassette d'enregistrement !
- Nous sommes le 11 novembre et ce jour est férié... pour l'anniversaire de Radio Solaris ! (avec 5 jours d'avance)

EXTRAIT 16  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 30 septembre 1983 )

"Les Girls d'Enfer" 
Extrait de 22.26 à 23.27   

Avec Daniel, Pierre, et Didier
 
et un appel téléphonique de Marie-Christine*.

Attention à ne pas laisser traîner dans le studio de "Girls d'Enfer" ses vieilles cassettes de reportages déjà diffusées. L'animateur Patrick l'a appris à ses dépens.  

 

Durée : 1 h 1' 19"  (il doit manquer quelques secondes vers 22.57)


Et... merci Maurice !

* Commentaire de Rod : Afin de lire son horoscope à Marie-Christine, Didier annonce qu'on est le 30. Idem, pub pour le Lion Codec
pour le 04/10
(cf commentaire ci-dessous pour le 23 septembre).

- la piste gauche de la cassette a été mal effacée lors de l'enregistrement (on entend Pat Benatar par intermittence)

EXTRAIT 17  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 23 septembre 1983 )

"Les Girls d'Enfer"

Pierre, Didier, François et le Professeur Sigrand reçoivent ce soir :

- Nicole que l'on a connue en meilleure forme !
- Michel de Fécamp et Véronique qui fête les 31 ans de leur sœur et belle-sœur M
icheline, de Goderville. (Vous saurez tout sur le "roteux")
- Une autre Nicole avec Joanic.
- Véronique et Annie nous parlent de "sténo" : hiatus ou bien cactus ?

Durée du délire : 1 h 14' 31" (il manque 3( mn un peu avant minuit)
 

                                         extraits enregistrés entre 22.25 à 00.15
 

    "Ah wouais, vous chavez pas
     ch'qu'est l'roteux, vous à Cholaris ?"


Méga loufoquerie ce soir, les "Girls d'Enfer" se déroulent dans une étable où la musique paraît-il, stimule le rendement laitier des vaches. L'une d'elle est d'ailleurs invitée ! Une caution scientifique est présente en la personne du Professeur Sigrand dont la voix ressemble étrangement à celle de Léon Zitrone.

EXTRAIT 18  -  LES GIRLS D'ENFER  ( Vendredi 2 septembre 1983 )

        

"Les Girls d'Enfer"


La toute première de "Girls d'enfer" avec Daniel, Pierre, Rod et Didier.

Pierre explique le principe de l'émission largement inspirée de feue "Vinyl 33" de la saison précédente.  

Le premier appel vient de Jean-Luc, aléseur à Gonfreville-L'Orcher et de sa Girl d'Enfer Véronique !

.

Durée : 1 h 32' 48"  (de 22.00 à 23.33)


Pour la première de Girls d'Enfer, l'équipe doit se roder (comme dirait Rod). L'improvisation est très difficile à froid, l'affaire est loin d'être dans le sac...

Soyons indulgents !
 

 

EXCLUSIF !

Voici les premières versions de Girls d'Enfer :
3 émissions avec le titre initial
"Vinyl 33"

(pour info , la toute première émission de Vinyl 33 apparaît dans le programme de Solaris le vendredi 16 juillet 1982)

EXTRAIT 19  -  VINYL 33  ( Vendredi 4 février 1983 )

"Vinyl 33"


Emission présentée par Daniel, Jean-Patrick, Christine et Pierre. Au standard : Rose Laurence et Rod.

Au téléphone : Pascal de Montfort-sur-Risle. Un prélude aux futures "Girls d'enfer" ???

Durée : 1 h 23
 

- Daniel annonce vers 14'30'' que 2 auditrices (Corinne et Carine) viendront dans nos studios le vendredi 18 février, et précise que ce sera dans 15 jours.

- A noter l'utilisation de la stéréo (donc après octobre 1982) : on entend Rod et Jean-Patrick à gauche, Pierre à droite, et Daniel au centre !

- La majorité des titres programmés sont de 1982 et un seul date de 1983, mais nous ne sommes qu'au début de l'année

La première partie de l'émission semble être en direct* du café-bar de M. Leprince avec en prime le bruit des clients et du percolateur ! L'art de tenir le micro et la bouteille simultanément, sans modération ! (L'abus d'alcool est dangereux pour la santé...)

*
interrogé à ce sujet, Pierre ne se souvient plus (les vapeurs de l'alcool sans doute?) dans quelles conditions l'émission avait été réalisée : en direct du bar ou bien en studio avec un fond d'ambiance enregistré ?
    

EXTRAIT 20  -  VINYL 33  ( fin janvier 1983 )

"Vinyl 33"

Extraits entre 21.57 et 23.00

avec Daniel Verdière, Pierre, Jean-Patrick, Christine.
Au début, il y a les 3 dernières minutes de Rod Elby qui passe l'antenne aux compères de Vinyl 33.

A noter
que le début d'émission est censé se passer dans les rues d'Yvetot
(il s'agit en fait d'un bruit de fond, même principe que l'émission du 4 février, censée se dérouler dans un café !)

 

Durée : 1 h 03

Merci à Daniel Lefebvre pour cet enregistrement
Daniel a daté cette émission fin janvier 1983, grâce à la dédicace à 22' à l'occasion
des 40 ans de mariage de ses parents.

EXTRAIT 21  -  VINYL 33  ( Vendredi 24 décembre 1982 )

      

Vinyl 33


L'émission de la veille de Noël 1982 vendredi 24 décembre, avec Pierre, Didier, Ghislain,
Jean-Luc, Martial, Laurent,
etc.
 

Durée : 2 h 19"
 

Encore une fois, l'abus d'alcool, etc, etc...  

 

©  Collections : Anne (?), Daniel, Pierre, Rod et JC


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